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Just a few days away from launching...

Assembly of the HOPE buoy before deployment

February 27, 2024

Since February 22, under the tropical sun of New Caledonia, Mobilis and the technical team of the HOPE project have been working on the scientists' quay in Nouméa to assemble the huge profiling buoy, prior to its deployment at sea.

French version below

After waiting a few weeks in its containers, the HOPE buoy is ready to see the light of day! Mobilis spent a week assembling the buoy, while Jean-Michel Grisoni, Jordan Duchene, Sophie Bonnet, Mercedes Camps and Matthieu Savarino mounted and integrated the sensors. 

It all starts with the unloading of the 3 40-foot containers which enabled the buoy to travel from mainland France to New Caledonia. Next, the buoy's 4 large floats are mounted and assembled around the buoy's metal structure, which contains 4 garages to house the sensors.  Meanwhile, the buoy's mast - the on-board laboratory in which the automatons will be positioned and which will house the scientists - is being erected in the docs, sheltered from the sun. Fitted with solar panels, wind turbines and batteries, it will enable the buoy to work autonomously, without human intervention.

The mast will be mounted on the buoy structure on February 29, and the buoy will be launched on March 1, when it will be baptize, like a new boat seeing the ocean for the first time...

French version:

Depuis  le 22 février, sous le soleil tropical de la Nouvelle-Calédonie, Mobilis ainsi que l’équipe technique du projet HOPE se sont retrouvés sur le quai des scientifiques à Nouméa pour assurer le montage de l’immense bouée profileuse, avant son déploiement en mer. 

Après avoir patienté quelques semaines dans ses conteneurs, la bouée HOPE est prête à voir le jour ! Pendant une semaine, Mobilis se charge d'assembler la bouée, pendant que Jean-Michel Grisoni, Jordan Duchene, Sophie Bonnet, Mercedes Camps and Matthieu Savarino assurent le montage et l’intégration des capteurs sur la bouée. 

Tout commence par le dépotage des 3 conteneurs 40 pieds qui ont permis à la bouée de voyager de métropole jusqu’en Nouvelle-Calédonie. Ensuite, ce sont les 4 gros flotteurs de la bouée qui sont montés et assemblés autour de la structure métallique de la bouée, qui contient 4 garages qui accueilleront les capteurs.  Pendant ce temps, c’est le mât de la bouée, cad le laboratoire embarqué dans la bouée dans lequel seront positionnés les automates et qui accueilleront  les scientifiques, qui est monté dans les docs, à l’abri du soleil. Muni de panneaux solaires et d’éoliennes, et de batteries, il permettra à la bouée de travailler en autonomie, sans intervention humaine.

Le mat sera monté sur la structure de la bouée le 29 février, et la bouée sera mise à l’eau le 1er mars, date à laquelle elle sera baptisée, tel un nouveau bateau qui voit l’océan pour la première fois…